Vendredi, je me suis rendue compte qu’il ne me reste que cinq semaines de travail avant le début du congé.
Sur ces cinq semaines-là, j’en passerai deux à l’extérieur du bureau.
Sur les trois qui restent… ce sera la course pour préparer mon départ, mon remplacement, pour finaliser ou transférer des dossiers… et ça, ce n’est qu’au bureau!
Le vaccin manquant, les bagages à faire et refaire pour que ce ne soit pas trop lourd, l’achat d’un autre sac à dos de jour (en faut un qui puisse recevoir mon sac de couchage et ma veste et d’autres cossins pour la montée du mont Sinaï et la nuit au sommet). Me manquera-t-il quelque chose? Est-ce que j’en amène trop ou pas assez? Est-ce que ce que je porterai en Égypte fera aussi l’affaire en France?
Mais je ne me plains pas! C’est un rêve qui deviendra réalité dans moins de 40 jours… Encore irréel à mes yeux, même si ce n’est pas le cas à mon porte-monnaie!
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